- EAN13
- 9791037761927
- ISBN
- 979-10-377-6192-7
- Éditeur
- Le Lys Bleu Éditions
- Date de publication
- 06/2022
- Nombre de pages
- 460
- Dimensions
- 21 x 14,8 x 2,8 cm
- Poids
- 668 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Il faut bien que les hommes vivent est un roman captivant
qui nous mène au
coeur de quatre familles, fétus humains emportés par les bourrasques du
XXe siècle.
La première quittera, en 1902, son village du coeur de la France pour
emprunter, en voiture,
à cheval, les pistes lunaires d'une Algérie en pleine
expansion coloniale.
La seconde est celle d'un soldat du tsar, prisonnier du Kaiser en 1914, qui
se verra submergé par la Révolution d'Octobre, ses drapeaux rouges et ses
fusils, ses espoirs et ses désespoirs. Sa vie de moujik bouleversée, il
rejoindra, avec femme et enfants, la folie d'un kolkhoze perdu aux confins
de la Sibérie bolchévique des années 20, avant de se voir bousculé par les
hordes hitlériennes de l'Opération Barbarossa.
La troisième viendra se réfugier dans les bras d'une France assoupie
derrière sa Ligne Maginot, après avoir précipitamment quitté la Pologne,
peu
avant que son petit monde ne disparaisse dans les ruines
incandescentes du Ghetto de Varsovie.
La quatrième, enfin, fuira les ténèbres accablantes des mines de charbon
d'Ardèche
pour émerger peu à peu au soleil et gagner le miroir aux
alouettes de la Baie des Anges.
Comment imaginer que ces gens ordinaires, ignorant tout du monde d'à
côté et vivant aux antipodes les uns des autres, finiraient un jour par se
croiser, apportant ainsi et bien inconsciemment leur modeste caillou à la
pyramide de l'humanité ?
qui nous mène au
coeur de quatre familles, fétus humains emportés par les bourrasques du
XXe siècle.
La première quittera, en 1902, son village du coeur de la France pour
emprunter, en voiture,
à cheval, les pistes lunaires d'une Algérie en pleine
expansion coloniale.
La seconde est celle d'un soldat du tsar, prisonnier du Kaiser en 1914, qui
se verra submergé par la Révolution d'Octobre, ses drapeaux rouges et ses
fusils, ses espoirs et ses désespoirs. Sa vie de moujik bouleversée, il
rejoindra, avec femme et enfants, la folie d'un kolkhoze perdu aux confins
de la Sibérie bolchévique des années 20, avant de se voir bousculé par les
hordes hitlériennes de l'Opération Barbarossa.
La troisième viendra se réfugier dans les bras d'une France assoupie
derrière sa Ligne Maginot, après avoir précipitamment quitté la Pologne,
peu
avant que son petit monde ne disparaisse dans les ruines
incandescentes du Ghetto de Varsovie.
La quatrième, enfin, fuira les ténèbres accablantes des mines de charbon
d'Ardèche
pour émerger peu à peu au soleil et gagner le miroir aux
alouettes de la Baie des Anges.
Comment imaginer que ces gens ordinaires, ignorant tout du monde d'à
côté et vivant aux antipodes les uns des autres, finiraient un jour par se
croiser, apportant ainsi et bien inconsciemment leur modeste caillou à la
pyramide de l'humanité ?
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